À la rencontre de ...
Le plus ancien hôtel de la ville
Construit en 1607, des générations de Lavallois l’ont connu sous les noms du Grand Dauphin ou, plus récemment, de l’hôtel du Zeff. En l’appelant « Auberge des Remparts », Nicolas Cribier s’est inscrit dans cette histoire. À sa manière : « J’ai ouvert en 2004 mais il m’a fallu quelques années pour que l’hôtel ressemble exactement à ce que je voulais offrir à mes clients. »
Meubles, bibelots, ustensiles et appareils, venus des années 40, 50 et 60, livres et collections, sont mis en scène avec goût et imagination. Tout est inattendu mais chaque objet a trouvé sa place. À l’accueil, au salon, dans l’ambiance insolite et unique de chaque chambre, l’ensemble compose un cadre où l’on se sent bien, où l’on a envie de se poser.
LA MAYENNE AU PETIT DÉJEUNER
Entouré du « petit », son inséparable boxer de (bonne) compagnie et du bienveillant squelette Maurice (en smoking et haut de forme) l’ancien directeur, Nicolas accueille une clientèle éclectique qui a su découvrir cette hôtellerie à la fois chaleureuse et singulière, décalée et professionnelle.
S’il ne propose pas de restauration (les restaurants sont à deux pas), il met un point d’honneur à servir des petits déjeuners très mayennais : jus de pomme d’Entrammes, charcuterie de Saulges, fromages du cru, confitures maison…
Il était une fois le plus vieil hôtel de Laval : L’Auberge des Remparts !
Je m’engage à :
- ce que vous trouviez dans mon hôtel, un lieu singulier d’échange et de partage. Cet hôtel, raconte l’histoire de nos vies au travers d’objets que j’ai chiné un à un depuis plus de 20 ans.
- ce que les produits d’accueil ne soient volontairement pas emballés afin de minimiser notre impact sur l’environnement.
- vous proposer des produits locaux au petit-déjeuner. Le fromage d’Entrammes, le beurre au lait cru de Chantrigné, les charcuteries de Saulges accompagnent idéalement les confitures et pâtisseries que je vous prépare tout au long des saisons pour vous régaler au petit-déjeuner.
Nicolas
« Mon lieu fétiche, mon refuge, c’est le Bois-Gamats. On y est en 3 minutes et on en fait le tour en une heure. C’est aux portes de la ville, mais ce n’est déjà plus la ville. C’est ça Laval ! »