Bannière Gens Dici

À la rencontre de ...

D’origine « 100% mayennaise », moitié du nord, près de la Bretagne, et moitié sud, côté Haut-Anjou, François Filipot a travaillé à Taiwan, où il appris le mandarin, à Paris… Aujourd’hui, depuis la maison de famille, il est l’agent commercial, pour la France, d’une firme allemande. C’est à Paris, qu’il a rencontré son épouse, Tzu-i, d’origine taiwanaise. « Lorsque la famille s’est agrandie, nous avons quitté Paris, pour l’Yonne, puis la Mayenne. Nous y avons de l’espace, une qualité de vie. Mon épouse en apprécie le calme et ne regrette pas les horizons urbains qu’elle a connus. Mais il est vrai que lorsque sa mère vient de Taiwan nous rendre visite, elle a besoin de quelques jours pour s’habituer au silence de la campagne… »

Photo François Filipot Et Sa Famille Cp François FilipotPhoto François Filipot Et Sa Famille Cp François Filipot
©© François FILIPOT
François

« Ouvrir des chambres d’hôtes dans notre maison de famille, c’est aussi le plaisir d’accueillir, d’échanger avec des personnes de passage, de faire découvrir la Mayenne. »

Il aime
  • JARDINER (J'AI LA MAIN VERTE)
  • BRICOLER
  • ENTRETENIR
  • LA COURSE À PIED

Estampille Slowlydays

CONSTRUITE EN 1772

La maison des Grands-Aulnais est telle que l’a vue le chouan Jambe d’Argent lorsqu’il a quitté la ferme voisine pour prendre la tête du soulèvement chouan. Construite en 1772, ses poutres (apparentes) ont été taillées sous Louis XIV… Mais c’est un lieu seigneurial depuis le Moyen-Âge ; en attestent les restes des douves défensives et les vestiges du temps où elle était encore décrite comme un « logis avec clôture de hautes murailles ».
De là vient cette atmosphère intemporelle qui fait les séjours reposants. C’est dans les années 1960 que la famille de François Filipot est devenue propriétaire, en achetant la ferme pour l’exploiter. La toiture et les différents niveaux ont été progressivement restaurés. Un travail achevé par François et Tzu-i pour composer le cadre raffiné dans lequel ils accueillent leurs visiteurs.

« Ouvrir des chambres d’hôtes dans notre maison de famille fut d’abord une idée de mon épouse. Tout en développant une activité, nous avons révélé et valorisé le potentiel de cette belle bâtisse du XVIIIe siècle. C’est aussi le plaisir d’accueillir, d’échanger avec des personnes de passage, de faire découvrir la Mayenne. Pour nous et nos enfants, recevoir des gens dans nos murs, les faire profiter du jardin, c’est naturel. Les Grands-Aulnais allient le confort de chambres spacieuses à une authenticité au parfum d’histoire. »

LE CALME DU JARDIN

Cette maison, qui a gardé ses volumes extérieurs et intérieurs, plait beaucoup, « sans doute parce que les travaux de restauration ont été réalisés avec le souci d’ajouter du confort tout en respectant l’histoire et l’élégance du lieu. Le calme du jardin et des environs est apprécié par nos visiteurs. C’est une clientèle de passage, de plus en plus intéressée par nos recommandations sur les sites à découvrir : Laval, le château de Craon, la cité de Sainte-Suzanne et surtout le musée Robert-Tatin. On mesure l’impact des actions de promotion de ce site culturel étonnant. »

Les engagements de

François

Nous aurons le plaisir de vous faire partager ce lieu rempli d’histoire du seigneur de Meaulne en passant par le chouan « Jambe d’argent ». Nous vous retraçons l’aventure de la restauration de notre demeure en respectant son identité.

Nous vous proposons un petit-déjeuner avec du pain et des viennoiseries de notre boulangerie locale, lorsque les saisons le permettent les confitures maisons s’invitent à votre table.

En hiver nous apprécions échanger autour d’un bon feu de cheminée à la chaleur de la flamme.

Dans une ambiance familiale, nous prenons le temps de vous faire découvrir notre potager, les moutons broutant notre pré ou avec simplicité vous révéler les sites à découvrir ou les projets de balades.

Où rencontrer

François

Son lieu favori en

Mayenne
Chapelle du Montaigu - Hambers

« J’aime bien les panoramas et les reliefs de l’est de la Mayenne, à partir des Coëvrons ; la chapelle du Montaigu, le sommet des Avaloirs, etc. C’est différent de notre Craonnais, plus plat, mais pas sans charme.  »

D'autres

Gens d'ici

Suivre notre actualité
Fermer